DarkAlex, Deyonnu & Andro
~
Perso 1 -C'est moi qui ai la plus grosse poule.
Perso 2 *Ricane* "Que tu crois."
Perso 1 -J'ai la plus grosse poule.
Perso 2 -Le mensonge est une très mauvaise chose, ne gâchez pas votre santé, elle l'est déjà assez.
Perso 1 -J'ai aussi le plus gros cochon, et la plus haute chèvre.
Perso 2 *Hausse les épaules, un sourire narquois sur les lèvres.* "Qu'importe la diversité de ton ménage, j'ai l'élevage de bœufs le plus fourni !"
Perso 3 -Messieurs, vous ne pouvez rivaliser avec la chatte que j'ai chez moi.
Perso 1 -J'ai aussi des chattes !
Perso 2 -Si vous le dites, montrez donc votre chatte, que j'en juge par moi-même...
Perso 3 -Désolé mais ma chatte est spéciale, elle ne se montre que le soir. Elle dépasse largement les capacités de vos animaux.
Perso 1 -Ha ! ha ! Vous le voyez bien, il n'a pas de chatte !
Perso 2 *Hausse des épaules, les mains levées en signe d'évidence* "Sans preuve, les paroles ne valent rien. Ah !"
Perso 3 -Parlez, parlez, mais en attendant ma chatte est toujours là pour moi, le soir. Et vous, bande de fermiers aigris, quelles preuves pour vos animaux ? Hein ? J'attends de voir aussi.
Perso 1 -Je préfère ne pas présenter ma poule ni mes cochons, et encore moins ma magnifique chèvre Bertha. J'aurais peur qu'on me les vole et je ne sais pas, vous... je ne vous sens pas.
Perso 2 *Fit mine de fouiller dans sa poche, dégaina son portefeuille, d'où il extirpa non sans peine un papier plié. D'un geste habile, il déplia non pas une, ni deux, mais trois fois le document, dévoilant ce qui passerait pour un poster de boys band, si ce n'était un groupe de bœufs qui trônaient au centre d'un pré verdoyant* "Et toc ! Qu'est-ce que vous dites de ça !?"
Perso 3 -Je n'ai pas le temps pour vos sottises, j'ai une petite envie de caresser ma chatte, là, vous me faites mourir d'ennui.
Perso 1 L'homme au chapeau sortit un pistolet. "Maintenant, tu vas nous montrer ta chatte."
Perso 2 *Son sourire s'évanouit à la vue de l'arme, il replia doucement son illustration avant de la ranger dans le repli de sa veste* "Hum..." *Se risqua-t-il*
Perso 3 -Voyons, de quel droit vous pointez votre arme sur moi ! J'ai fait la guerre moi, monsieur, ancien soldat et vous osez me pointer ? Je vais vous marafler la gueule ; ça ne va pas tarder !
L'homme au chapeau mit cette fois sérieusement en joue l'homme à la chatte. Il ne plaisantait plus ; mais plus tôt, déjà, il ne plaisantait pas. "On ne rigole plus. Je veux voir ta satanée chatte et crois bien que tu vas me la montrer. Allez, en route."
Perso 2 *Il fit un pas en arrière, prenant discrétement ses distances* "Sortir une arme est-il indispensable ?" *Bredouilla-t-il, incertain*
Perso 3 -Monsieur, restez ici, pas besoin de partir ! Vous voyez cette cicatrice sur mon bras, une balle perdue durant la guerre, j'en ai vu des belles. Et je n'ai d'ordre à recevoir de personne, alors baissez votre arme avant que ça ne tourne mal pour vous !
L'homme au chapeau sourit. Mais ses yeux traduisaient son véritable état intérieur. Tout comme les traits tordus de son visage. La fureur...
Perso 2 *Il haussa des épaules, ne prenant même pas le risque de sourire* "Vous avez peut être fait la guerre, mais cela ne vous a pas rendu insensible aux balles, et l'effet ne s'étend pas non plus à vos interlocuteurs." *Il grimaça de plus belle*
L'ancien soldat n'en pouvait plus. ''Vous, vous devez en avoir une, de chatte ! Oui monsieur, à fuir comme cela ! Jamais de mon temps, j'eusse vu une telle lâcheté !''
Un Bisounours rose (mauve, en vérité) apparut. Il surgit de derrière un mur. "Bonjour, les amis !"
Perso 2 *Afficha une mine horrifié* "Oh, non, pas toi !"
Perso 3 -Mais qu'est-ce qu'il fait là, lui ? Si c'est une blague, elle est de très mauvais goût !
Le Bisounours cessa de rire bisounoursement. Il déposa la patte dans son dos et dégaina un énoooorme révolver. "Fini de jouer, les amis. Suivez-moi", ajouta-t-il sur un ton agressif. Sa voix avait muté.
Perso 2 *Il étouffa un cri, ne laissant partir qu'un hoquet de surprise* "Non, non, non, ça recommence !" *Il jeta un bref coup d'œil derrière lui, puis un autre vers le Bisounours armé, jaugeant ses chances de fuites qui s'avéraient bien maigres*
Perso 3 Le vieil homme semblait consterné, il ne comprenait visiblement rien à la situation. ''Bon, messieurs, cela a assez duré. Je suis un homme respectable, et votre blague est très mauvaise, je m'en vais.'' Il ne prenait visiblement pas conscience de la gravité de la situation. Alors, comme il ne semblait visiblement pas comprendre, le Bisounours tira une balle en visant son pied. L'homme au chapeau s'était (pendant ce temps, et littéralement...) statufié.
Perso 3 *Il manqua de hurler un avertissement, tandis que l'ancien homme d'arme faisait mine de partir, mais trop tard. Sa voix fut couverte par le bruit de l'arme* "NON !" *Criait-il malgré tout, puis il plaqua sa main sur sa bouche, comme si son acte frôlait la trahison*
''HAAAAAAAAAAAH !", hurla le vieil homme d'un coup. Il tomba à genoux, la balle avait touché le tendon droit de son pied gauche, il s'était littéralement effondré. ''BORDEL de merde ! C'est quoi TON problème, enfoiré ! Ahhhhhh, j'ai mal !!'' Ses yeux tentaient de chercher de l'aide auprès des deux autres hommes.
Le vieil homme n'aurait pas dû tenir ce genre de propos. Car le Bisounours fit un pas en avant. Celui-ci dirigeait bien son arme vers le blessé. "Répète un peu, pour voir ?" (L'homme au chapeau s'était transformé ; il était à présent devenu une véritable statue.)
Perso 2 *Il saisit sa chance, fait demi-tour aussi rapidement qu'il le put et fonça vers ce qui se semblait être un... bœuf, équipé d'une scelle que l'homme agrippa rudement avant de monter sur l'animal* "Huch !" *Brailla-t-il, ordonnant à sa monture de se mettre en route*
Perso 3 "Mais vous êtes qui, bon Dieu de merde." Sa blessure lui rappela ses temps de guerre, d'un seul mouvement il mit une balayette au Bisounours, avec sa jambe droite, et utilisa son coude pour frapper la gorge. ''Papy a encore du répondant, bougre merde.''
L'homme au chapeau explosa.
Perso 2 *Il sentit le souffle de l'explosion soudaine, mais ne cherchait déjà plus à comprendre ce qui se passait. Désespéré, il descendit de sa monture et tira sur les reines* [NDRL : il y avait donc des personnes royales dans les parages]
Le papy d'élite était sidéré, dix minutes plus tôt il parlait encore d'animaux, et voilà maintenant qu'il venait de maîtriser un nounours géant et de voir quelqu'un exploser. Cela lui semblait inconcevable, tellement inimaginable qu'il ne sentait même plus la douleur à son pied. Il était maintenant seul, que devait-il faire ? L'homme au chapeau apparut sous la forme d'un fantôme. Il ne paraissait plus aussi colérique et dit "cher papy, laisse-moi t'aider. Abandonne. Ce Bisounours te fera la peau, alors... accepte ton destin. Et rejoins-moi dans l'au-delà..."
-Va manger tes morts. Vade retro satanas. Personne ne me fait la peau, et pour te le prouver, regarde ça.
L'homme venait de croquer la gorge du Bisounours, le sang giclait sur son visage. Un sourire apparut. Le nounours hurlait, il hurlait à la mort. Le sang continuait de gicler et c'était bien là une chose curieuse, que de voir du sang jaillir d'un Bisounours. Son énorme revolver se trouvait désormais par terre. Le vieil homme ramassa le pistolet, il tira une dernière fois dans la tête de cette peluche vivante. ''Juste pour être sûr.''
La peluche s'écroula. Morte. Le fantôme de l'homme au chapeau regardait ce spectacle en mangeant du pop-corn fantomatique, puis lui vint cette réplique, "j'ai quand même la plus grosse poule."
-Parle toujours, elle m'appartient maintenant. Et pour te le prouver, je m'en vais la voir.
L'homme puisa dans ces dernières forces pour aller jusqu'au poulailler du défunt, à quelques mètres. Il vit la poule, il la mangea. ''C'est vrai qu'elle était grosse, ta poule", dit-il en pouffant de rire.
-Eh bien moi, j'ai bouffé ta chatte avant que nous nous retrouvions.
-Ça m'étonnerait, elle est en vacances depuis trois jours. Si tu vois ce que je veux dire.
-Mais alors, de qui ai-je bouffé la chatte ???
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Perso 1 -C'est moi qui ai la plus grosse poule.
Perso 2 *Ricane* "Que tu crois."
Perso 1 -J'ai la plus grosse poule.
Perso 2 -Le mensonge est une très mauvaise chose, ne gâchez pas votre santé, elle l'est déjà assez.
Perso 1 -J'ai aussi le plus gros cochon, et la plus haute chèvre.
Perso 2 *Hausse les épaules, un sourire narquois sur les lèvres.* "Qu'importe la diversité de ton ménage, j'ai l'élevage de bœufs le plus fourni !"
Perso 3 -Messieurs, vous ne pouvez rivaliser avec la chatte que j'ai chez moi.
Perso 1 -J'ai aussi des chattes !
Perso 2 -Si vous le dites, montrez donc votre chatte, que j'en juge par moi-même...
Perso 3 -Désolé mais ma chatte est spéciale, elle ne se montre que le soir. Elle dépasse largement les capacités de vos animaux.
Perso 1 -Ha ! ha ! Vous le voyez bien, il n'a pas de chatte !
Perso 2 *Hausse des épaules, les mains levées en signe d'évidence* "Sans preuve, les paroles ne valent rien. Ah !"
Perso 3 -Parlez, parlez, mais en attendant ma chatte est toujours là pour moi, le soir. Et vous, bande de fermiers aigris, quelles preuves pour vos animaux ? Hein ? J'attends de voir aussi.
Perso 1 -Je préfère ne pas présenter ma poule ni mes cochons, et encore moins ma magnifique chèvre Bertha. J'aurais peur qu'on me les vole et je ne sais pas, vous... je ne vous sens pas.
Perso 2 *Fit mine de fouiller dans sa poche, dégaina son portefeuille, d'où il extirpa non sans peine un papier plié. D'un geste habile, il déplia non pas une, ni deux, mais trois fois le document, dévoilant ce qui passerait pour un poster de boys band, si ce n'était un groupe de bœufs qui trônaient au centre d'un pré verdoyant* "Et toc ! Qu'est-ce que vous dites de ça !?"
Perso 3 -Je n'ai pas le temps pour vos sottises, j'ai une petite envie de caresser ma chatte, là, vous me faites mourir d'ennui.
Perso 1 L'homme au chapeau sortit un pistolet. "Maintenant, tu vas nous montrer ta chatte."
Perso 2 *Son sourire s'évanouit à la vue de l'arme, il replia doucement son illustration avant de la ranger dans le repli de sa veste* "Hum..." *Se risqua-t-il*
Perso 3 -Voyons, de quel droit vous pointez votre arme sur moi ! J'ai fait la guerre moi, monsieur, ancien soldat et vous osez me pointer ? Je vais vous marafler la gueule ; ça ne va pas tarder !
L'homme au chapeau mit cette fois sérieusement en joue l'homme à la chatte. Il ne plaisantait plus ; mais plus tôt, déjà, il ne plaisantait pas. "On ne rigole plus. Je veux voir ta satanée chatte et crois bien que tu vas me la montrer. Allez, en route."
Perso 2 *Il fit un pas en arrière, prenant discrétement ses distances* "Sortir une arme est-il indispensable ?" *Bredouilla-t-il, incertain*
Perso 3 -Monsieur, restez ici, pas besoin de partir ! Vous voyez cette cicatrice sur mon bras, une balle perdue durant la guerre, j'en ai vu des belles. Et je n'ai d'ordre à recevoir de personne, alors baissez votre arme avant que ça ne tourne mal pour vous !
L'homme au chapeau sourit. Mais ses yeux traduisaient son véritable état intérieur. Tout comme les traits tordus de son visage. La fureur...
Perso 2 *Il haussa des épaules, ne prenant même pas le risque de sourire* "Vous avez peut être fait la guerre, mais cela ne vous a pas rendu insensible aux balles, et l'effet ne s'étend pas non plus à vos interlocuteurs." *Il grimaça de plus belle*
L'ancien soldat n'en pouvait plus. ''Vous, vous devez en avoir une, de chatte ! Oui monsieur, à fuir comme cela ! Jamais de mon temps, j'eusse vu une telle lâcheté !''
Un Bisounours rose (mauve, en vérité) apparut. Il surgit de derrière un mur. "Bonjour, les amis !"
Perso 2 *Afficha une mine horrifié* "Oh, non, pas toi !"
Perso 3 -Mais qu'est-ce qu'il fait là, lui ? Si c'est une blague, elle est de très mauvais goût !
Le Bisounours cessa de rire bisounoursement. Il déposa la patte dans son dos et dégaina un énoooorme révolver. "Fini de jouer, les amis. Suivez-moi", ajouta-t-il sur un ton agressif. Sa voix avait muté.
Perso 2 *Il étouffa un cri, ne laissant partir qu'un hoquet de surprise* "Non, non, non, ça recommence !" *Il jeta un bref coup d'œil derrière lui, puis un autre vers le Bisounours armé, jaugeant ses chances de fuites qui s'avéraient bien maigres*
Perso 3 Le vieil homme semblait consterné, il ne comprenait visiblement rien à la situation. ''Bon, messieurs, cela a assez duré. Je suis un homme respectable, et votre blague est très mauvaise, je m'en vais.'' Il ne prenait visiblement pas conscience de la gravité de la situation. Alors, comme il ne semblait visiblement pas comprendre, le Bisounours tira une balle en visant son pied. L'homme au chapeau s'était (pendant ce temps, et littéralement...) statufié.
Perso 3 *Il manqua de hurler un avertissement, tandis que l'ancien homme d'arme faisait mine de partir, mais trop tard. Sa voix fut couverte par le bruit de l'arme* "NON !" *Criait-il malgré tout, puis il plaqua sa main sur sa bouche, comme si son acte frôlait la trahison*
''HAAAAAAAAAAAH !", hurla le vieil homme d'un coup. Il tomba à genoux, la balle avait touché le tendon droit de son pied gauche, il s'était littéralement effondré. ''BORDEL de merde ! C'est quoi TON problème, enfoiré ! Ahhhhhh, j'ai mal !!'' Ses yeux tentaient de chercher de l'aide auprès des deux autres hommes.
Le vieil homme n'aurait pas dû tenir ce genre de propos. Car le Bisounours fit un pas en avant. Celui-ci dirigeait bien son arme vers le blessé. "Répète un peu, pour voir ?" (L'homme au chapeau s'était transformé ; il était à présent devenu une véritable statue.)
Perso 2 *Il saisit sa chance, fait demi-tour aussi rapidement qu'il le put et fonça vers ce qui se semblait être un... bœuf, équipé d'une scelle que l'homme agrippa rudement avant de monter sur l'animal* "Huch !" *Brailla-t-il, ordonnant à sa monture de se mettre en route*
Perso 3 "Mais vous êtes qui, bon Dieu de merde." Sa blessure lui rappela ses temps de guerre, d'un seul mouvement il mit une balayette au Bisounours, avec sa jambe droite, et utilisa son coude pour frapper la gorge. ''Papy a encore du répondant, bougre merde.''
L'homme au chapeau explosa.
Perso 2 *Il sentit le souffle de l'explosion soudaine, mais ne cherchait déjà plus à comprendre ce qui se passait. Désespéré, il descendit de sa monture et tira sur les reines* [NDRL : il y avait donc des personnes royales dans les parages]
Le papy d'élite était sidéré, dix minutes plus tôt il parlait encore d'animaux, et voilà maintenant qu'il venait de maîtriser un nounours géant et de voir quelqu'un exploser. Cela lui semblait inconcevable, tellement inimaginable qu'il ne sentait même plus la douleur à son pied. Il était maintenant seul, que devait-il faire ? L'homme au chapeau apparut sous la forme d'un fantôme. Il ne paraissait plus aussi colérique et dit "cher papy, laisse-moi t'aider. Abandonne. Ce Bisounours te fera la peau, alors... accepte ton destin. Et rejoins-moi dans l'au-delà..."
-Va manger tes morts. Vade retro satanas. Personne ne me fait la peau, et pour te le prouver, regarde ça.
L'homme venait de croquer la gorge du Bisounours, le sang giclait sur son visage. Un sourire apparut. Le nounours hurlait, il hurlait à la mort. Le sang continuait de gicler et c'était bien là une chose curieuse, que de voir du sang jaillir d'un Bisounours. Son énorme revolver se trouvait désormais par terre. Le vieil homme ramassa le pistolet, il tira une dernière fois dans la tête de cette peluche vivante. ''Juste pour être sûr.''
La peluche s'écroula. Morte. Le fantôme de l'homme au chapeau regardait ce spectacle en mangeant du pop-corn fantomatique, puis lui vint cette réplique, "j'ai quand même la plus grosse poule."
-Parle toujours, elle m'appartient maintenant. Et pour te le prouver, je m'en vais la voir.
L'homme puisa dans ces dernières forces pour aller jusqu'au poulailler du défunt, à quelques mètres. Il vit la poule, il la mangea. ''C'est vrai qu'elle était grosse, ta poule", dit-il en pouffant de rire.
-Eh bien moi, j'ai bouffé ta chatte avant que nous nous retrouvions.
-Ça m'étonnerait, elle est en vacances depuis trois jours. Si tu vois ce que je veux dire.
-Mais alors, de qui ai-je bouffé la chatte ???